Diabète

Les voyages cassent la routine, et c’est même souvent ce qu’on attend d’eux ! Mais si, comme 3,5 millions de personnes en France, vous êtes atteint de diabète, bouleverser vos habitudes alimentaires, augmenter ou réduire votre activité physique, perdre vos repères temporels à cause du décalage horaire, ou bien encore changer drastiquement de climat, peuvent s’avérer problématiques. Quelles sont alors les bonnes pratiques que les voyageurs atteints de cette maladie chronique doivent mettre en œuvre ?

La personne atteinte de diabète doit régulièrement contrôler sa glycémie. La fréquence des contrôles est programmée et adaptée en fonction du profil de chaque patient. La mesure de la glycémie peut être effectuée à l’aide d’une prise de sang dans un laboratoire d'analyses médicales : mesure de la glycémie à jeun et hémoglobine glyquée (HbA1c) tous les trois mois. Mais le patient peut également mesurer son taux de glucose dans le sang n’importe où, et à n’importe quel moment, en utilisant lui-même un lecteur de glycémie. On parle alors d’ASG (AutoSurveillance Glycémique).

Maladie de plus en plus fréquente aujourd’hui, le diabète de type 2 touche en majorité les personnes de plus de 40 ans. Plus fréquent que le diabète insulino-résistant (de type 1, également caractérisé par une hyperglycémie, soit un excès de sucre dans le sang), le diabète de type 2 est aussi connu sous le nom de « diabète non insulinodépendant » (DNID). Quels sont les symptômes du diabète de type 2 ? Comment dépister et traiter ce type de diabète, le plus courant aujourd’hui ?

La personne atteinte de diabète doit régulièrement contrôler sa glycémie. La fréquence des contrôles est programmée et adaptée en fonction du profil de chaque patient. La mesure de la glycémie peut être effectuée à l’aide d’une prise de sang dans un laboratoire d'analyses médicales : mesure de la glycémie à jeun et hémoglobine glyquée (HbA1c) tous les trois mois. Mais le patient peut également mesurer son taux de glucose dans le sang n’importe où, et à n’importe quel moment, en utilisant lui-même un lecteur de glycémie. On parle alors d’ASG (AutoSurveillance Glycémique).

L’acétone est un déchet qui provient de la dégradation des graisses par notre organisme. Nous en produisons tous une petite quantité, qui est ensuite éliminée par les voies respiratoires et les urines. Les corps cétoniques et l’acétone sont produits lorsque notre organisme est à court d’insuline et ne peut plus utiliser le glucose. Chez les diabétiques, dès que l’organisme est en manque d’insuline, les corps cétoniques s’accumulent de manière excessive dans le sang et provoquent une acidité excessive : on parle alors d’acidocétose.

Le diabète non insulinodépendant (ou de type 2) concerne 90% des personnes diabétiques ce qui représente 2,3 millions d’habitants en France. A ce chiffre, il faut ajouter environ 800 000 personnes ignorant leur état de santé. Ce diabète est très souvent asymptomatique, c'est-à-dire que pendant de nombreuses années, on ne se sent pas malade.

La mesure de la glycémie fait partie du quotidien des personnes diabétiques. Parfois contraignant, ce geste est devenu beaucoup plus simple grâce à la technologie. Zoom sur deux types de glucomètres connectés !

Vous entendez régulièrement parler du dépistage du diabète mais vous ne savez pas du tout si cela vous concerne ? Tour d’horizon des situations qui doivent pousser à consulter !

Nos gènes peuvent augmenter notre risque de développer un jour un diabète. Ils ne nous prédestinent toutefois pas à coup sûr ! Comment prévenir cette maladie chronique ?